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Une enquête sur le processus de paix anglo-irlandais

Un jour, au printemps de 1994, j'ai quitté tôt le travail du Centre d'analyse opérationnelle de la Défense, à West Byfleet. Alors que je conduisais, pour ne jamais revenir, devant tout le personnel de sécurité, les armes à feu, les chiens, les barbelés et les caméras We Wait and We Wonder de Phil Collins passait de BBC Radio 1 sur mon autoradio. La chanson semblait une instruction pour ma ligne de conduite : entrer dans le processus de paix. De nombreuses années plus tard, des amis irlandais m'ont dit que l'explication de ma conduite (après avoir entendu cette chanson) était que j'avais "l'appel", ce qui, selon moi, ramène les Irlandais sur l'île d'Irlande. Je n'avais pas encore trouvé que mon ADN indiquait que je suis à 31 % irlandais/écossais sans aucun parent de sang écossais récent. Les sous-sections ici fournissent, espérons-le, un résumé artistique de l'endroit où j'en suis en 2019. Pourquoi ? Eh bien, peut-être parce que la norme suivante de la directive NICE sur la schizophrénie dit ceci :

Les buts des thérapies artistiques devraient inclure : Permettre aux personnes atteintes de schizophrénie de se vivre différemment et de développer de nouvelles façons d'entrer en relation avec les autres.

Ou à l'inverse afin de permettre aux personnes « schizophrènes » de se vivre différemment et de développer de nouveaux modes de relation à l'autre grâce aux arts-thérapies. Le coût du handicap mental au Royaume-Uni a été évalué à 110 milliards de livres sterling en 2013 et cela n'inclut bien sûr pas l'Irlande ou tout autre pays dont l'ADN a été détecté par www.ancestry.co.uk dans le mien (voir photo) :  60 % anglais/Europe du nord-ouest, 31 % irlandais/écossais, 7 % norvégien, 2 % suédois, avec quelque chose qui se passe au nord-ouest !

Cross community peace process work
Cross community peace process work

Song for Ireland, une chanson anglaise écrite par Phil et June Colclough

Clive Hathaway Travis DNA map with AncestryDNA.co.uk
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